Je reviens dans cette article sur le site d'une ancienne épave au large de l'île grecque d'Anticythère. Des plongeurs ont trouvés à cet endroit en octobre 2012 plus de 200 objets dispersés sur une vaste zone au fond de la mer. Des poteries intactes, l'ancre du bateau, des objets en bronze énigmatiques (probablement une calculette célèste) des bijoux, des pièces de monnaies et des statuettes ont déjà été récupérés.

L'équipe qui a effectué les premières explorations estime que des centaines d'autres objets pourraient être enfouis dans les sédiments à proximité de l'épave. Des bijoux, des armes et des statues devraient être encore présentes sur le site.

C'est déjà en 1970 que l'explorateur marin Jacques Cousteau avait fait mention d'une épave dans cette région. Jusqu'à présent, personne n'avait visité l'épave. Cette situation avait conduit à de nombreuses spéculation sur la présence de différents trésors qui pourraient être découverts dans cette épave. Les habitants racontés des histoires au sujet de statues de marbre géantes situées au-delà de la portée des plongueurs.

Il aura fallu tout de même plonger de 35 à 60 mètres pour trouver les différents trésors répartis sur des fonds de mer rocheux.

Pour confirmer si il reste des objets, l'équipe d'exploration va  utiliser des détecteurs de métaux ainsi que du matériel de cartographie pour trouver des statues ou d'autres objets qui ne seraient pas métaliques. Pour plus d'information vous pouvez consulter la page suivante : http://www.guardian.co.uk/science/blog/2013/mar/18/return-to-antikythera-divers?INTCMP=SRCH

Souveraine légendaire des temps bibiliques et dont le pouvoir s'étendait sur un royaume situé au Yémen ou en Ethiopie, la reine de Saba est présente dans plusieurs récits des religions du Livre. Selon ces récits, elle s'est rendue à Jérusalem et a offert au roi Salomon des quantités d’or. 

Près de 3.000 ans plus tard, l’archéologue britannique Louise Schofield vient de découvrir une ancienne mine d'or, les ruines d’un temple et les vestiges d’un champ de bataille, tout cela sur l’ancien territoire de la reine de Saba, sur les hauts plateaux de Gheralta, dans le nord de l’Ethiope. Ces découvertes pourraient expliquer les origines du trésor de la reine de Saba, explique le Guardian.

La reine de Saba était à la tête d’un royaume qui a prospéré grâce au commerce avec Jérusalem et l’empire romain. Ce personnage a été immortalisé dans le Coran et la Bible. On a très peu d’informations sur ce personnage légendaire, en revanche, la reine de Saba est une figure très présente dans les arts. Cette dernière a inspiré les travaux mystiques de chrétiens du Moyen-Age. Elle y incarne la sagesse divine. La reine de Saba est également présente dans des tableaux turcs et persans.

Pour de plus amples information vous sur : hhtp://www.guardian.co.uk/science/2012/feb/12/archaeologists-and-quest-for-sheba-goldmines

Je vous propose aujourd'hui de découvrir le blog d'un chercher d'or, Marc Lambert. Voici le texte d'accueil de son blog que j'ai trouvé très sympa (http://www.orpassionmarcus.fr/index.html) :

"Passionné de détection depuis déjà 20 années, je découvre l'orpaillage en 2001 à l'occasion d'un stage organisé en Ariège. J'ai toujours été fasciné par les documentaires sur ces pays tel que l'Amérique du sud, le Pérou, le Costa Rica, l'Argentine, mais aussi la Guyane Française, le Canada et l'Australie où l'or attire toutes sortes d'aventuriers pris par cette fièvre. Aujourd'hui j'ai la grande chance de pouvoir vivre ces aventures et de les faire partager avec d'autres. Mon site reflète bien ces magnifiques moments vécus à la recherche de ce précieux métal jaune. Ainsi, je suis venu à l'écriture de mon premier livre, déjà presque épuisé " Carnet de route d'un chercheur d'or en Australie ", premier d'une longue série sur mes aventures lointaines dans divers pays. Mes voyages en Australie m'ont permis d'allier la détection et la recherche aurifère. A l'époque je n'imaginais pas pouvoir trouver directement à fleur de sol de très belles pépites d'or ou Nuggets comme disent les Australiens".

Chasseur de trésors sur Eklablog c'est aussi cela ! Partager des rêves et des passions..

Plus de 2.000 momies ont déjà été sorties des ruelles de Tupac Amaru, un bidonville de la banlieue de Lima, au Pérou, par l’archéologue Guillermo Cock. Ce site de Puruchuco, où des Andins fuyant la guérilla ont commencé à s’installer il y a plus de 20 ans, est en fait un cimetière inca exceptionnel. Les défunts auraient été enterrés entre 1480 et 1535, soit peu de temps avant la chute de l’Empire inca. L’arrivée des conquistadors espagnols aurait mis fin à l’utilisation de ce cimetière.

Les fouilles ont commencé en 1999, sur la demande des habitants, mais ce n’est qu’aujourd’hui que le magazine National Geographic mécène de l’opération, révèle la découverte.

Les momies étaient enterrées dans des caveaux de 16 à 60 m2, à plusieurs mètres de profondeur. Aucun corps n’a été embaumé : ils se sont naturellement momifiés dans le sol aride de la côte péruvienne. Certaines momies ont conservé leurs tatouages, leurs cheveux, ou leur coiffe en plumes, révélatrice du rang social chez les Incas. Guillermo Cock et ses collègues ont aussi exhumé des falzas cabezas, des « fausses têtes » : il s’agit de momies contenant les dépouilles de plusieurs individus, surmontées d’un ballot de coton en forme de tête pour lui donner l’aspect d’un seul corps. Une foultitude d’objets funéraires –50 à 60.000- ont également été mis au jour.

Le cimetière de Puruchuco va permettre aux archéologues d’étudier le mode de vie, les relations sociales, la culture et l’état de santé d’une communauté inca sur environ deux générations. Selon Guillermo Cock, une grande partie du trésor serait encore caché sous les maisons du bidonville de Tupac Amaru, nommé d’après le dernier Inca. Plus d'informations sur le sujet se trouvent ici : http://sciencesetavenir.nouvelobs.com/archeo-paleo/20020419.OBS4959/un-tresor-inca-sous-le-bidonville.html

Je vais vous parler aujourd'hui d'une technologie professionelle mais utilisée par beaucoup d'archéologues et de chasseurs de trésors amateurs également. Avec les instruments géophysiques du fabricant allemand "OKM GmbH",  il devient facile de localiser des objets enterrés comme des pieces de monnaies en or ou argent, des boucles, des lingots d'or, des coffres, des caisses, des bijoux, des métaux précieux mais aussi, et ce qui est nouveau, des reliques, des statues en cuivre ou en bronze, des objets ferreux, des pierres en marbre, des dalles ou pièces vides cachées comme des tunnels, des chambres funéraires, des tombeaux et des caves. Cette technologie peut aussi être utilisée pour détecter les fondations des vieux batiments, ou des ancien ruines ainsi que des reste du murs.

 Les produits de haute gamme earth imager de OKM sont fait spécialement pour la chasse au trésor et offrent des fonctions de géophysique (modélisation du relief du sol) en plus des charactéristiques standard des détecteurs de métaux. Grâce à un petit moniteur ou par l'entremise de lunettes video il devient possible de visualiser le sous-sol avec toutes le relief et les objets qui s'y trouvent. De cette manière, vous devenez capable de voir en directe dans le sol. Ce qui est invisible pour les yeux humain devient visible grâce à l'aide des instruments proposés par cette entreprise.

Je vous conseille vivement d'aller voir les produits proposés par cette société ainsi que les résultats obtenus par la clientèle de cette nouvelle génération de détecteur : http://www.okmmetaldetectors.com

Depuis des décennies, les chasseurs de trésors passent au crible les côtes philippines à la recherche d’un immense butin de guerre que les troupes japonaises y auraient caché avant de se rendre aux armées alliées en 1945.

Mythe ou réalité, le trésor de Yamashita – du nom du général japonais qui tenta un ultime baroud d’honneur face aux forces alliées aux Philippines – continue de faire rêver. Les habitants de Mauban, petite ville côtière de l’archipel où se trouverait une partie du trésor de Yamashita, n’ont donc guère été surpris de voir des chasseurs de trésors recommencer à explorer des parcelles privées, en février dernier. Située sur l’île de Luzon, dans la province de Quezon [sur la plus grande île du pays] Mauban avait été l’un des principaux ports de débarquement de l’invasion japonaise en décembre 1941. Plusieurs sources font état de l’aménagement de tunnels durant l’occupation. Selon une estimation faite après la guerre, le butin se monterait à 4 000 ou 6 000 tonnes d’or, soit plusieurs centaines de milliards de dollars.

 Le dictateur Ferdinand Marcos [qui a régné de 1965 à 1986] a même en son temps fait appel à l’armée philippine pour trouver cet or.

Pour plus d'information sur le sujet vous pouvez consulter la page suivante : http://www.courrierinternational.com/article/2011/10/19/le-fabuleux-butin-du-general