• Les restes d'un bateau, datant probablement du début des années 1800, ont été trouvés dans le golfe du Mexique par l'Okeanos Explorer. L'épave a été découverte à 320 kilomètres au large de la côte du golfe à une profondeur importante de 1219 mètres lors d'une mission dans le golfe du Mexique dirigée par la National Oceanic and Atmospheric Administration.

    La coque en bois du navire est presque désintégrée, mais une coquille de cuivre verdâtre qui protégeait jadis le bois subsiste encore à l'arrière. Les artefacts découverts dans et autour de l'épave ainsi que la coque doublée de cuivre permettent de dater le navire entre le début et le milieu du 19e siècle. Le premier indice de l'épave date de 2011, lorsqu'une prospection au sonar par la Shell Oil Company a fait surgir un spot inconnu à l'écran. Une exploration du site avec l'Okeanos Explorer a alors été décidée en 2012.

    Il semblerait que 4 autres épaves soient encore présentes dans la zone explorée. Les robots envoyés sur la première épaves font ressortir que le bateau contient de nombreux objets intéressants comme des céramiques.

    Plus d'informations sont disponibles à cette page : http://www.huffingtonpost.com/2012/05/17/19th-century-shipwreck-gulf-mexico-200-year-old_n_1525084.html#slide=988899


  • Au moins 35 petites pyramides, ainsi que des tombes ont été découvertes très regroupés sur un site appelé Sedeinga au Soudan.

    Depuis 2009, une équipe d’archéologues français, effectue des fouilles sur la nécropole du site Sedeinga, situé au Soudan, sur la rive gauche du Nil. Leurs travaux de terrain, déployés durant ces dernières années, les ont amenés à mettre en évidence la présence de 35 petites pyramides dont 13 particulièrement concentrées sur une surface de près de 500 mètres carrés.

    Les vestiges datent d’il y a environ 2.000 ans, à l’époque du royaume de koush, établi lors de l’ancien Empire égyptien. La structure des pyramides de la nécropole et les tombes associées ont surement été influencées par l’architecture funéraire égyptienne. Les dimensions de ces structures varient de l’une à l’autre. Les plus grosses peuvent atteindre des largeurs de 7 mètres à la base, tandis que les plus petites sont seulement de 75 centimètres. Les sommets n'ont malheureusement pas tenu face aux aléas du temps mais les spécialistes affirment qu’ils étaient ornés de pierres gravées de motifs représentant un oiseau ou une fleur de lotus.

    Les tombes associées aux pyramides sont pour la plupart vides. Toutefois, il est possible parfois à découvrir quelques objets comme des céramiques ou des tablettes sur lesquelles un texte a été gravé en langue méroïtique.

    Pour plus d'informations sur le sujet consultez la page suivante : http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-2275036/35-pyramids-Sudan-necropolis-Links-ancient-Egypt-Africas-Kush-kingdom.html


  • Un incroyable trésor, dont la valeur représente une somme colossale a été découvert dans les sous-sols d'un temple hindou du Sud de l'Inde. La question de l'origine de cette fabuleuse découverte se pose alors. S'agit-il de richesses cachées par une famille royale ou d'offrandes abandonnées dans le temple ? Alors qu'ils réalisaient des fouilles dans les sous-sols d'un temple de l'Etat du Kerala, au sud de l'Inde, des archéologues ont mis au jour des milliers de colliers, de décorations en or, en argent, et de pierres précieuses. Ce fabuleux trésor a été découvert dans cinq caches souterraines du temple de Sree Padmanabhaswamy. Un édifice érigé au XVIIIe siècle, situé dans le centre de la ville de Thiruvananthapuram. Dédié au dieu Vishnou, il a été construit par le roi de Travancore. Le trésor découvert pourrait alors être constitué d'offrandes des fidèles. Depuis que l'Inde a obtenu son indépendance en 1947, le temple est géré par une fondation dirigée par les descendants de la famille royale de Travancore. Mais la Cour suprême indienne a récemment ordonné qu'il soit contrôlé par l'Etat. Ce lundi, une sixième chambre secrète, protégée par des murs de fer, doit être ouverte à son tour. Il est possible qu'elle renferme elle aussi d'inestimables richesses. Afin de protéger le précieux trésor, une centaine d'hommes de l'armée et de la police a été mobilisée sur le site. Le temple a également été équipé d’alarmes et de caméras. Se pose à présent la question du destin de cette découverte. Les responsables de la communauté hindoue estiment que ces richesses sont la propriété du temple et doivent le rester. D'autres, comme un ancien juge de la cour suprême et de nombreux intellectuels, réclament qu'elles soient investies pour le bien public.

    Si le sujet vous intéresse vous pouvez consulter la page suivante : http://www.foxnews.com/scitech/2011/07/05/billions-in-treasure-discovered-in-centuries-old-hindu-temple/


  • 140 pièces d'or et d'argent ainsi que des bijoux en or ont été découverts dans la région de Kiryat Gat en Israël. Les objets étaients enfouis dans une fosse de la cour d'un bâtiment datant de la période romaine et byzantine. Les chercheurs pensent que le trésor aurait été caché par une femme riche menacée par la révolte de Bar Kokhba (Bar Kokhba est la dernière des guerres opposant les Juifs et les Romains). Parmi les objets il y a une boucle d'oreille en forme de fleur fabriquée par un orfèvre, une bague ornée d'une pierre précieuse avec un tampon de maitre ainsi que 140 pièces d'or et d'argent. Les objets découverts ont été présentés à des experts. Selon ces derniers le trésor date de la période des empereurs romains Neron, Nerva et Trajan dont le règne remonte à entre 54 et 117. Le trésor se trouve désormais au laboratoire de l’Autorité israélienne des Antiquités de Jérusalem.

    Si le sujet vous intéresse vous pouvez consulter la page suivante : http://www.sci-news.com/archaeology/article00370.html


  • Les experts viennent de confirmer que les morceaux de météorite tombés en juillet 2011 au Maroc étaient bien d’origine martienne. Ils valent aujourd’hui plusieurs milliers de dollars l’once. Tombée en une boule de feu en juillet 2011 sur le Maroc, et retrouvée en décembre seulement sous forme de blocs de 1 à 7 kilogrammes , cette météorite a très vite excité la convoitise des astronomes et des amateurs, qui spéculaient sur son origine martienne. Pari gagné !
     
    Les tests effectués par des experts dirigés par Chris Herd viennent de le confirmer : les précieux minéraux se sont décrochés de la Planète Rouge, probablement il y a des millions d’années, à la suite d’un impact cosmique, avant d’errer dans le Système solaire pour finir par entrer dans l’atmosphère terrestre. Un tel ‘cadeau’ n’était plus tombé du ciel depuis 1962.

    Avant même que ces résultats ne soient dévoilés, musées, universités et scientifiques de la NASA avaient d'ores et déjà offert de fortes sommes pour des échantillons de cette rarissime ‘denrée’. Aujourd’hui, ces fragments se négocient ainsi de 11.000 à 22.500 dollars l'once (soit de 8.500 à 17.600 euros pour moins de 30 grammes). Ceci correspond à environ 10 fois la valeur de l'or, note le Telegraph.

    Ce qui fait dire à Chris Herd, qui en a acheté un morceau : "c’est un échantillon ‘gratuit’ de la planète Mars... sauf qu’on doit payer les revendeurs". Aucune mission spatiale n'a encore pu rapporter ce type de matériau sur Terre

    http://www.tntmagazine.com/news/weird/meteorite-from-mars-worth-uten-times-more-than-goldu


  • La légendaire "pierre de soleil" qui aurait permis, selon les sagas scandinaves, aux navigateurs vikings de s'orienter même par temps couvert n'est pas une simple légende assurent des chercheurs de l'université de Rennes dans une étude publiée récemment.

    Les Vikings étaient connus pour être des navigateurs émérites, capables de parcourir des milliers de kilomètres en mer en direction de l'Islande et du Groenland. Ils ont même très certainement découvert l'Amérique du Nord vers l'an 1000, bien avant Christophe Colomb. Mais leur capacité à naviguer sans boussole sur d'aussi longues distances, et même dans des conditions météorologiques très défavorables (nuit polaire, neige, etc.), restait mystérieuse. Outre leurs excellentes et indéniables connaissances astronomiques et maritimes, ils auraient ainsi utilisé des "pierres de soleil". En regardant à travers celles-ci, les marins auraient alors pu détecter la position exacte de l'astre solaire, invisible à l'œil nu et en déduire ainsi le cap à suivre. Mais bien qu'elles soient mentionnées dans de nombreuses légendes, aucune précision n'a jamais été apportée quant à la nature de ces pierres fabuleuses. De même, aucun de ces mystérieux objets n'a jamais été formellement identifié dans les vestiges archéologiques.

    Selon le laboratoire de physique des lasers de l'Université de Rennes, cette "pierre de soleil" ne serait autre qu'un "spath d'Islande", un cristal de calcite transparent relativement courant en Scandinavie et qui est encore actuellement utilisé dans certains instruments optiques. Ce cristal a en effet la propriété de "dépolariser" la lumière du soleil, c'est-à-dire de la filtrer différemment selon la façon dont on oriente la pierre.

    Grâce à de nombreux calculs et tests, le laboratoire a conclu que la position et la direction du soleil peut être facilement déterminée, grâce à une simple observation des faisseaux de lumière qui passent à travers le spath d'Islande. Une précision de quelques degrés peut être atteinte, même dans des conditions de luminosité crépusculaires. Ainsi, même sans avoir aucune connaissance scientifique sur la polarisation, les Vikings auraient donc facilement pu observer les propriétés de ce cristal et s'en servir pour trouver la direction du soleil à coup sûr.

    Si le sujet vous intéresse, vous pouvez consulter la page suivante : http://www.independent.co.uk/news/science/archaeology/not-just-the-stuff-of-legend-famed-viking-sunstone-did-exist-believe-scientists-8521522.html